Notre cerveau génère un bruit de fond. C'est une interférence que les scientifiques avaient peine à expliquer. La croyance populaire voulait que cette interférence déclinait à mesure qu'on s'éloignait du désordre de l'enfance. Toutefois, c'est apparemment le contraire. À mesure que notre cerveau se complexifie, le bruit augmente. La théorie en vogue est que le cerveau teste différentes possibilités (qui ne fonctionnent pas) avant d'arriver à la bonne.
Mais certaines maladies ont tendance à réduire ou augmenter cette interférence; la schizophrénie l'augmente (peut-être parce qu'un taux d'erreur plus élevé...) et l'Alzheimer le descend (peut-être parce qu'il y a alors moins de requêtes dans certaines zones du cerveau associées à la mémoire...).
Pendant qu'on parle d'interférence à la pensée objective, voici un autre petit fait amusant... Des scientifiques ont découvert que les zones associées au plaisir sont activées lorsqu'une mère voit son enfant sourire. C'est assez fou de voir à quel point on est physiologiquement fait pour avoir des enfants et s'y attacher. Ce n'est pas seulement de l'affection pure et véritable; il y a aussi l'interférence de nos hormones à toutes les étapes de la chaîne.
Est-ce que la majorité des gens ont vraiment le choix d'aimer leurs enfants?
1 commentaire:
En fait, les connexions cervicales sont plus complexes à 6 ans qu'à 27 ans, l'épuration des liens synaptiques optimisent la recherche d'information dans le cerveau et en permet une meilleure utilisation.
Ce qui est plus complexe, c'est la capacité de traitement de l'information, c'est un domaine à fouiller, lorsqu'on s'en rappelle!
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