Il y a toutes sortes de gens qui commettent des meurtres. Il y a en fait, plusieurs types, comme les crimes passionnels, les crimes calculés (tuer quelqu'un pour l'argent des assurances) et les crimes de tueurs en série. Les plus violents et les plus horribles sont souvent causés par les gens qui n'ont pas toute leur tête au moment du crime... Toutefois, ce qui me trouble, c'est que ces crimes sont vus commes plus graves que ceux du meurtrier calculateur par beaucoup de gens.
Vite dit, je ne crois pas vraiment qu'on devrait facilement relâcher un meurtrier en série qui a manifestement envie de tuer, parce qu'il a complètement perdu la boule. Je suis pas naïf au point de croire qu'une réhabilitation serait forcément une solution envisageable. Dans la plupart des cas, lorsqu'il manque un boulon de cette ampleur, l'être est dévasté pour le restant de ses jours. Je ne suis pas un expert, alors il est possible que je me trompe, je ne prends que les idées reçues sur le sujet. Un criminologue pourrait vous en dire plus.
Bon, passons maintenant au point plus important. Un tueur en série, lorsqu'il tue, ne se rend pas forcément compte de ce qu'il fait, il a pêté les plombs, comme qui dirait. Un meurtrier dans un crime passionnel non plus. Jusqu'à un certain point, ils sont responsables, mais ils ne le sont pas autant qu'un meurtrier qui planifie froidement de tuer quelqu'un pour un avantage X, selon moi. Pourquoi? Parce que s'il planifie froidement de tuer quelqu'un, il l'a fait en toute connaissance de cause, sachant très bien les conséquences de ses actes, sachant très bien ce qu'il faisait, ce qu'on peut pas vraiment dire des deux autres profils de meurtriers...
Comment dire, je ne cherche pas à excuser un meurtrier en série, je cherche plutôt à vous montrer que l'humain le plus crapuleux est celui qui sait pertinemment ce qu'il fait, qui est conscient de ceci et qui peut vivre sans être fou avec le fait de tuer quelqu'un. Il reste toujours un fait intéressant, amené par Dostoïevsky, dans Crime et châtiment. Que la personne qui n'est pas devenue folle a des chances d'avoir des remords de conscience.
Toutefois, la mort (cinématographiquement parlant) est banalisée, ce qui risque d'en donner de moins en moins. Ce qui me rappelle l'histoire d'un enfant de 15 ans, en Floride, qui voulait engager un tueur à gages pour se débarrasser de ses parents parce qu'ils l'avaient privé de télévision. Est-ce que ça veut dire que graduellement, le meurtre devient de plus en plus ordinaire? Est-ce que l'individualisme en est la cause? Est-ce un imaginaire social qui pousse les gens dans cette direction? Est-ce le naturel barbare de l'être humain qui refait surface derrière le vernis de la société?
Bien franchement, je ne saurais dire. Une chose reste claire. En quelque part, si le meurtre et la mort deviennent de plus en plus naturels dans la fiction, dans la réalité, les nouvelles nous montrent des crimes de plus en plus odieux, ce qui veut, veut pas, nous désensibilise, malgré la grande pudeur des bulletins de nouvelles. Il y a quelque chose dans cette machine qui semble marcher croche.
Je dirais bien "Où s'en va-t-on?" mais je ne suis pas un révolutionnaire. Je sais que quand l'humanité a assez d'un extrême, elle se dirige vers l'autre, puis l'autre, puis l'autre avant de finalement tenter de s'arrêter sur un juste milieu... Peu importe ce qu'en disent les dictateurs.
1 commentaire:
Les meurtriers en série sont une plaie qui ne guérira jamais. Le tueure à gage, lui planifie, examine et obtien un gain. Qui est vraiment le pire? Selui qui sans raison tue des gens qui ont des cheveux long? Ou celui qui tue Bongo le biker des Hells du couin? Ou celui qui, par vengeance, planifie le meutre de celui qui lui à voler ça blonde?
Le tueur à gage est une danré intérressant et utile, les 2 autre catégorie son répugnante et non utile. Mais je m'explique pour le tueure à gage: lui il tue pour l'argent, donc si on ne requiert plus ses services il ne tue plus. Simple? Bon pour le mec qui veut ce vanger et bien, aisse pire que en toute connaissance de cause, un mec vole l'amour d'une femme vert un homme (par manipulation surement) et la détourne vers lui, brisant un couple unie? Et le tueure fou, lui, n'est pas arrêtable, tant qu'il n'est pas mort.
Alors le moin pire le tueure à gage, solution: on les endure
Pour les tueures passionel, solution: il y en a pas.
Pour les tueures fou, solution: Aucunes.
Alors qu'en est il? Simple, Heinstein (pas sur de l'ortographe) a dit: Ten que l'homme existera il y aura des guerre (guerre = barbarie = meutre) Donc, le meutre est dans les meurs de l'humanité qu'on le veille on non.
Chaps
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