Je vous pointais vers un article prouvant un lien entre l'atrocement nommé diabète de type 2 et l'Alhzeimer. Mais ce lien n'est pas déjà fait qu'on a tenté de confirmer que ce diabète causait, en plus, un déclin des capacités cognitives. Encore une fois, le lien se fait.
Bon, peut-être vous demandez-vous pourquoi je suis toujours à trouver "de type 2" si horrible. Très simple, c'est l'hypocrisie que ça implique. C'est le diabète des gros, causé par l'alimentation, l'accumulation des tissus adipeux, l'obésité. Bref, c'est le diabète des abus alimentaires. Le cacher sous un nom de type 2 me donne l'impression qu'on voulait ménager les susceptibilités des gens. Si ça peut vous rendre moins intelligents et avec une mémoire affaiblie, peut-être devrait-on s'assurer de vous faire clairement passer le message que vous êtes responsable de cette condition. Ça ne la rend pas moins tragique pour autant, mais c'est triste la vérité.
4 commentaires:
C'est vrai que dans notre société, on ménage trop la sensibilité, voire la sensiblerie, des gens. Les Québécois ne sont pas un peuple dur.
Si j'étais obèse, je ferais tout ce qu'il faut pour perdre du poids : améliorer mon alimentation, faire du sport et, si ça ne marche pas, me faire rétrécir l'estomac. L'obésité, c'est décadent. Seuls les gens sans orgueil s'y résignent.
(Ceci dit, je suis impressionné par ton auto-discipline, Carl. Tu as réussi à vaincre ton embompoint de manière froudroyante et convaincante. Tu es un exemple pour beaucoup de gens.)
Je serais encore aussi gras que je dirais la même chose. On est devant des choix, certains faciles, d'autres déchirants. Chacun est maître de sa destinée. Il n'y a pas de honte à avoir fait le choix d'être obèse, mais on forfaite le droit de s'en plaindre par le fait même, selon moi.
Il y a des gens pour qui c'est impossible de faire en sorte de devenir svelte, et c'est correct; je préfère encore que quelqu'un reste gras mais ait l'équilibre mental que névroser sur la minceur.
Il y a rien à condamner autre que la bêtise de ne pas essayer. Pour le reste, je ne crois pas avoir été un exemple avant maintenant, alors on va voir si sur le long terme, je vais m'y maintenir. J'ai rien à vendre; je fais mon chemin selon mes convictions; je ne cherche aucunement à être un exemple, mais si je peux l'être tant mieux. Je souhaite aux gens de pouvoir suivre leur étoile; c'est là l'exemple que je voudrais pouvoir donner.
Vous savez, dans plusieurs villes à travers le monde, on rationne la circulation automobile : à Montréal, allons plus loin, rationnons la promenade des gens gros : ils ne devraient pouvoir circuler que durant les heures de bureau. Je crois entendre mon camarade fasciste d'extrême-droite trouver ma solution trop peu radicale.... pour ma part, je considère que ce qu'on décide de faire de son corps nous appartiens : l'obésité, qui caractérisait bien des monarques et des nobles, étaient un signe que ces personnes mangeaient à leur faim. De même, les bons cuisiniers sont loin d'être tous sveltes et leurs silhouettes aux formes protubérantes indiquent souvent que leur cuisine sera bonne! ceci dit, je me me range pas derrière des études empiriques, mais je crois approprié de dégonflé le sujet!
Je dirais qu'à mes yeux, la plus mesquine forme d'obésité, c'est celle des femmes autrefois bien roulées qui ont commencé à prendre leur homme pour acquis !
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