En lisant un article sur le QI d'enfants de pères plus âgés, je ne pouvais pas autant les prendre au sérieux à cause de l'article prouvant que les analyses de QI seraient à revoir. Ceci étant dit, la différence statistique est de quelques points, sans plus, quelque chose qui pourrait peut-être être même une erreur statistique. D'un autre côté, le risque de schizophrénie, d'autisme et de nanisme est aussi augmenté de manière significative.
Cet article dit aussi que le QI d'un enfant d'une plus vieille femme est un peu plus haut, mais qu'on peut probablement lier ça au fait qu'une mère plus âgée a plus de temps à consacrer à sa progéniture. Cela augmente aussi le risque du syndrome de Down. Mais d'un autre côté, je crois que d'avoir un enfant n'est jamais sans risque. C'est une chance et un privilège avant tout. Clairement, s'il y a des mesures préventives pour éviter les déformations, aussi bien le faire pour donner la qualité de vie optimale à l'enfant.
Mais l'enfant ne verra jamais la différence avec ce qu'il aurait pu être mais n'est pas. Il peut se comparer aux autres, mais ce sera toujours fallacieux; la nature nous fait tous différents. Il y a des plafonds qu'on ne peut pas atteindre, et que d'autres atteindront sans peine. La seule mesure de la réussite qui fait sens, à mon avis, c'est de s'améliorer et de se dépasser. Pour le reste, c'est de la poudre aux yeux (particulièrement aux Jeux olympiques d'hiver!)...
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