Notre corps a des mécanismes en place pour corriger les erreurs de copie d'ADN d'une cellule à l'autre. Toutefois, si ce mécanisme tombe en panne, votre risque de cancer du pancréas augmente. Maintenant, on sait quel gène est associé à un système déficient et un test permet de le dépister pour savoir pour moins cher ceux qui pourraient le plus en souffrir. Comme les diabétiques (et dans une moindre mesure les fumeurs, si j'ai bien compris) sont plus à risque à la base, on peut faire un second tri grâce à la recherche du gène défectueux.
Peut-être un jour le corrigerons-nous... Mais encore une fois, ça pose toutes sortes de débats sur la nature de l'être humain. Des questions beaucoup plus intéressantes que lorsqu'on a ce débat au sujet de chèvres... (Malgré qu'il a été inutilement étiré dernièrement...) Ma question, toutefois, c'est si un jour, notre vision de nous-mêmes risque d'être plutôt comme des blocs de base que comme des humains, à force de taponner avec les gènes, les hormones? Est-ce que ce serait une bonne ou une mauvaise chose?
1 commentaire:
Vivant en dehors de la nature, l'être humain n'est plus soumis à la sélection naturelle, et son génome se corromp vu que même les faibles survivent et procréent. La science génétique pourrait donc servir à corriger ce problème.
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