Un paralytique de 23 ans a décidé qu'il ne voulait pas vivre dans la prison de son corps. Après 6 mois de réflexion sur le sujet, il a finalement décidé de passer à l'acte. Il a quitté l'Angleterre pour une clinique de suicide assisté en Suisse, ou la chose est tolérée par le gouvernement.
Un cas assez intense de désir de mort, non? Vous en pensez quoi, ô intelligence collective anonyme?
1 commentaire:
Sénèque a écrit qu'une vie bien vécu est suffisamment longue. J'ose ajouter qu'une vie qu'il est impossible de bien vivre est déjà trop longue. Si le but de la vie est de jouir et de s'accomplir, une vie privée de jouissance et d'accomplissement n'a pas de but, et par conséquent, pas de sens ni de valeur.
La mort me semble beaucoup plus désirable qu'une vie emprisonné dans son propre corps. Juste de penser à une telle vie, j'en ai des frissons d'horreur !
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