On dit parfois qu'on laisse une partie de soi-même dans les grands tourments. Toutefois, c'est un fait avéré pour les
alpinistes des très hautes altitudes. En effet, leur cerveau subit des lésions durant de tels périples. Apparemment, ils perdent une petite partie de leurs aptitudes cognitives, n'étant ensuite plus tout à fait aussi vif d'esprit... Payer le prix fort pour le sommet du monde, est-ce pire ou moins pire que pour les autres sports?
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