Les Mayas sont un peuple assez étrange, mais qui réussissait à garder l'équilibre entre l'agriculture et la civilisation, duquel certains scientifiques veulent prendre exemple. Et pourtant, ces humains qui aiment les gens qui louchent auraient été responsable d'une des premières extinction massives en Amérique du Nord dont l'humanité soit responsable.
Non satisfaits de sacrifier des humains, on croit qu'ils ont dû, parce que c'était une preuve de puissance, tuer de plus en plus de grands prédateurs sous prétexte que c'était un signe de puissance, de contrôle des éléments. À ce chapitre, c'est un autre exemple comme l'île de Pacques.
Ce qui est d'autant plus intéressant, c'est que la société maya n'a pas cherché à éliminer les fauves pour se protéger des prédateurs, pour les chasser d'une zone sensible! Au contraire, c'est pour une question de virilité et de domination. Je comprends qu'ils n'avaient pas tout à fait les mêmes priorités qu'aujourd'hui, où la conservation est problématique, mais la question demeure. Est-ce que nous polluons vraiment en prenant en compte l'aspect rationnel de la chose ou pour des raisons plus instinctives, animales?
Ou peut-être que certaines raisons paraissent rationnelles maintenant, mais que dans 1000 ans d'ici, les gens trouveront bien simplettes les arguments de ce jour. Peut-être pas. D'une manière où d'une autre, c'est difficile de s'arracher à la perception conditionnée par le temps, parce qu'on vit dedans. Mais toujours questionner permet sûrement de ne pas trop s'y perdre.
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