lundi 29 août 2011

Avoir vu l'univers sans en connaître les détails

L'Italie a un télescope au Chili duquel il tire d'immenses quantités de données. Malheureusement, ils n'ont pas les 250 000 euros par année nécessaires pour les interpréter. J'entendais récemment un astrophysicien dire que les gouvernements ne voulaient plus investir dans le futur lointain. Si on en vient un jour qu'à pouvoir automatiser au point de manquer de travail pour les populations humaines, est-ce qu'on ne deviendra pas curieux d'ouvrir ces données qui contiennent peut-être déjà une nouvelle compréhension de l'univers? Peut-être même qu'on pourrait penser que les générations futures, qui ne verront que le ciel d'aujourd'hui, pourront ouvrir ces archives pour voir comment était l'espace de jadis.
D'un autre côté, vu l'immense quantité de données, ils risquent de purement et simplement effacer les données et de ne pas les conserver.

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