mercredi 27 avril 2011
À l'ombre des complexes, la taille compte
Certaines espèces d'oiseaux s'adaptent mieux à la vie urbaine que d'autres. On pourrait dire que c'est une question de diète, ou de capacité à vivre le stress, mais une étude européenne semble démontrer qu'une autre caractéristique plus importante a une influence: la taille du cerveau. Même si on veut nous faire croire que c'est comment on l'utilise qui compte vraiment, les espèces avec le plus grande proportion de cerveau par rapport à leur corps sont celles qui s'adaptent à la vie urbaine. La seule exception est une espèce qui aurait des habitudes tellement compatibles avec la vie en ville que l'adaptation n'aurait pratiquement pas demandé de modifications à leur comportement habituel. Est-ce que la capacité des pigeons à hésiter vous surprend à la lumière de cette découverte?
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