lundi 7 juin 2010
Le suicide, une affaire d'intellect ou d'affect?
Les Suédois de 16 à 57 ans se suicident plus souvent s'ils ont un QI moins élevé. Les filles d'un enfant qui a fait une crise cardiaque vivent plus de dépression que les fils. L'activité physique, même peu intense, réduit la dépression et aide au rétablissement de victimes de crises cardiaques. On dirait que le corps, l'affect et l'esprit peuvent tous nous amener au bord du gouffre, et que les causes peuvent être nombreuses. Si c'est le cas, pourquoi les antidépresseurs ne prennent-ils pas ces différences en compte? Je sais que cela joue directement à la source, dans le cerveau, mais si certaines de ces causes peuvent être réglées par du soutien psychologique ou par de l'activité physique, pourrait-on faire une pilule qui rend plus sociable ou qui donne envie de faire de l'exercice à la place?
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