Pour aider ses citoyens, la Grande-Bretagne a fait un programme durant lequel le gouvernement envoyait des gens pour donner des cours de langue maternelle aux travailleurs, en espérant augmenter la productivité de la population active. Le gros problème, c'est qu'après 30 heures, ce programme ne semble avoir aucune conséquence directe. Pourtant, ce cours semble avoir stimulé des gens à se sentir plus en confiance, mais aussi à lire plus et à prendre d'autres cours pour affiner leur connaissance de la langue. L'auteur croit aussi que les cours n'ont pas été assez longs pour permettre une amélioration durable.
Peut-être qu'une méthode similaire au Québec pourrait aider à la préservation du français, et si nous y mettons le temps et l'argent, augmenterait même notre publicité. Si c'est un échec en Angleterre, revitaliser l'intérêt pour la langue serait ici salutaire à tous les niveaux.
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