Un expert de biotechnologies voudrait que la Grande-Bretagne, son pays, investisse 100 millions de livres pour développer cette industrie de l'alimentation. Il croit que si on ne peut pas modifier l'agriculture pour survivre aux changements climatiques, on ne pourra pas nourrir tout le monde. Avec des pénuries créant de la révolte au Mexique et Indonésie, il voudrait qu'on prévoie de manière à pouvoir continuer de nourrir tout le monde.
Mais avec la montée de l'agro-diésel, la suralimentation, je me demande à quel point on nage dans l'idéalisme. Sans compter que je ne suis pas certain que de nouvelles récoltes qui ont demandé un coût de développement de cet ordre ne sera pas plus cher et que la malnutrition ne deviendra pas, encore plus, une «maladie» de pauvreté. Les grands de ce monde auront-ils le problème eux-même, ou avons-nous simplement besoin d'une manière de vendre plus de surplus à des pays toujours aussi dépendants?
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