Depuis 1936, il y avait peu de neuf au sujet de cette espèce éteinte. Toutefois, une analyse ADN de 2 spécimens a permis de reconstituer leur ADN. Pas vraiment dans le but de cloner l'espèce et la faire renaître, mais simplement pour l'étudier. À la surprise des scientifiques, leur ADN était tellement similaire que c'est probablement une des causes de leur disparition. Sans variété pour s'adapter, un modèle identique tombe toujours dans le même panneau.
Ce constat peut nous aider à savoir quelles espèces peuvent être sauvées et quelles autres pas. D'un autre côté, c'est une mauvaise nouvelle pour le diable de tasmanie, un autre marsupial souffrant présentement de cette consanguinité de l'ADN.
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