Une étude dit qu'enlever les boissons gazeuses des menus des caféterias ne change en rien la consommation qu'en font les jeunes. Peut-être que si les dépanneurs, les machines distributrices et les autres sources de ces liquides contrôlaient l'âge avant d'offrir leur doux liquide, on serait plus proche... de l'État policier.
Ceci étant dit, j'ai plutôt l'impression que l'État aimerait prendre, par prévention, une manière plus musclée de combattre la malbouffe, mais la difficulté restera toujours la résistance des jeunes et que les pousser au pied du mur intensifiera seulement leur tendance rebelle.
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