À force de faire des études sur la transsexualité, on commence à découvrir des facteurs intéressants qui nous font constater à quel point l'identité sexuelle est quelque chose de physiologique. Certaines structures cérébrales d'ex-hommes ressemblent plus à celles d'une femme, mais ça va plus loin que ça encore. En fait, certaines caractéristiques de l'ADN semble être en cause dans cette identification sexuelle.
Ce qui veut dire que comme l'orientation sexuelle, l'identification sexuelle au sexe opposé menant à la transsexualité est en partie une caractéristique génétique. Maintenant, il faut savoir si on considère ça comme un défaut rectifiable ou la façon d'être de la personne.
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