mardi 28 octobre 2008

Dans le cerveau numéro un...

Même mort, notre cerveau laisse des traces de notre passage sur la terre. Si une personne se suicide, on peut même en trouver des traces. Apparemment, un tel cerveau compte 10 fois moins de l'agent chimique qui contrôle le comportement par des manipulations génétiques naturelles. Est-ce un signe d'un disfonctionnement, d'une dépression majeure?

Ou à l'inverse, est-ce parce que notre état d'esprit peut opérer ces fameuses modifications préprogrammées en prévision du suicide? (Les scientifiques croient le contraire, mais à priori, la preuve n'est pas faite encore...) Alors comprendre ce mécanisme permettrait soit de détecter des dépressions majeures d'origine physiologique, soit de détecter lorsqu'un comportement suicidaire va arriver à terme.

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