lundi 4 février 2008

Le chemin entre maladie et vie passe par la vallée de la mort.

Parfois, la mort appelle la vie; par exemple, la mort d'animaux de laboratoire, suivant décriée, amène des solutions possibles à des maladies. Le problème est souvent que le rat a peut-être une physionomie semblable, mais dans certains cas, trouver une solution pour un rat n'aide pas l'être humain. Alors créer un rat qui peut attraper le rhume, c'est peut-être trouver de nouvelles solutions aux allergies, à l'asthme et à la grippe aviaire, mais peut-être aussi simplement rendre leur vie encore plus misérable sans résultat probant...

D'un autre côté, certains disent qu'on devrait faire nos tests de laboratoire sur des primates, pour avoir des résultats plus efficaces. Ceci étant dit, pour vaincre la malaria, des scientifiques testent l'injection d'un virus de singe sur l'homme. Si cette solution pouvait venir à bout de la maladie, ce serait une excellente nouvelle. Si ça créait, à plus long terme, un nouveau sida? Avons-nous pas assez des risquess de la grippe aviaire? On ne sait jamais comment un virus venant d'un autre animal peut muter dans l'humain.

Deux risques qui créent soient la mort, soit la vie. Et entre les deux, l'homme, qui aime les risques calculés.

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