Ce n'est pas moi qui est de retour, mais bien une espèce d'échidée, qu'on croyait disparue est en fait possiblement encore en vie dans ses derniers retranchements, une zone inexplorée... Et ce n'est pas tout, l'alouette lulu pour laquelle il ne restait que 1600 couples, mais en 10 ans, il y a maintenant 3000 couples, c'est une grosse différence. Et vous savez ce qui a fait ça? Un refuge, une zone protégée.
Martineau liait un monologue anti-écologiste qui disait qu'il fallait laisser la nature suivre son cours et en quelque part. Pourtant, avec des refuges, en laissant la nature suivre son cours sans intervenir, même des cas désespérés comme la baleine bleue. Pourtant, il suffit qu'on arrête de mettre de la pression sur le monde naturel pour qu'il soit mieux. Se retirer et laisser la nature faire son travail.
Et pourtant, avec la pression économique qui va dans le sens inverse, en particulier dans le cas du biodiésel, c'est assez difficile de croire qu'il faut rester assis à rien faire. Pourtant, il faut promouvoir le status-quo dans les faits mais un renouveau dans les mentalités pour que notre nature survive... Toute une ironie, non?
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